With the global population set to rise from 6 to 9 billion within the next half century, and 15% of people already going to bed hungry, will the world be able to feed itself in the coming decades?There are serious doubts that it can. According to a statement from the agricultural ministers of the world’s 16 largest economies “the world faces a permanent food crisis and global instablility”. Food for Thought, a series of two programmes to coincide with World Food Day, explores the developments that stand the best chance of averting the threat.  In Pakistan, they use drills and laser technology to boost agricultural efficiency and cut water consumption. In the Philippines, genetic engineering is put at the disposal of poor farmers. In Mozambique the fishermen have got together to negotiate exclusive access to their traditional fishing grounds, kicking out the foreign trawlers. In India, they are developing sorghum as a food crop and as a biofuel.  Unlike other biofuel crops that have taken valuable farmland out of food production sorghum can be eaten, with only the residue used to produce fuel. The idea of improving food security for the developing world by seeing agriculture as an integral part of society as a whole, where access to markets, the role of women, and traditional knowledge are just as important as crop yield, forms a common thread to these stories. It’s a concept hotly debated by the interviewees, and is seen as the foundation for the best chance of averting the spectre of permanent food crisis. | |||||
Le quotidien belge s'étonne de la polémique provoquée par la candidature du fils du président à la tête de l'Etablissement d'aménagement public de La Défense (EPAD). Les Français auraient-ils oublié que leur pays est celui où les "fils de" sont rois ?
15.10.2009 | Bernard Delattre
© AFP
e président français et son fils, durant une cérémonie de commémoration de l'appel du 18 juin 1940, juin 2009
Les Français sont prompts à fustiger les tendances monarchistes de Nicolas Sarkozy, voire à le dépeindre en Roi-Soleil tenté par l'absolutisme. La comparaison étonne laSüddeutsche Zeitung, qui juge plus crédible la "piste corse". Pour le quotidien allemand, si un homme politique français s'est illustré en ce qui concerne le népotisme, c'est bien Napoléon Bonaparte, qui avait assuré à ses quatre frères et à ses trois sœurs des positions éminentes au sein de l'Empire.
Les Français auraient pu, par exemple, s'intéresser au pouvoir d'influence de l'épouse du Président. Qui, aujourd'hui, est manifeste, voire sans précédent. L'a notamment attesté, ces derniers mois, une série de nominations de proches de Carla Bruni-Sarkozy à la tête de grandes institutions culturelles. Ils ont choisi de se passionner plutôt pour la promotion de la descendance de leur chef d'Etat. Au risque de donner l'impression d'être victime d'amnésie collective.
Car Nicolas Sarkozy est loin d'être le premier hôte de l'Elysée à favoriser sa descendance. Ce qui le singularise par rapport à ses prédécesseurs, c'est la manière totalement décomplexée dont il procède. Et l'ampleur du hiatus avec ses propres engagements de campagne, que cette pratique révèle. Pour rappel, avant son arrivée à l'Elysée, le candidat Sarkozy avait (par exaltation, imprudence ou cynisme ?) promis que, sous son règne, la France aurait "une République exemplaire", caractérisée notamment par des nominations "irréprochables".
Pour d'éminents constitutionnalistes comme Dominique Rousseau, qui s'exprimait mercredi soir [14 octobre] dans les colonnes du Monde, cet usage"n'est pas symbolique de la Ve République, mais plutôt de la culture monarchiste française latente dans notre pratique politique et constitutionnelle depuis 1789". Même si cette habitude est tout sauf exclusivement française, comme viennent encore de le rappeler les scrutins en Grèce ou au Japon.
S'agissant de la France, les mémorialistes de la République remontent jusqu'aux "grandes dynasties politiques" que constituèrent jadis les familles Carnot, Arago ou Jeanneney. Plus proche de nous, le Président Giscard d'Estaing se démena longtemps pour assurer une carrière politique à sa progéniture, réussissant à ce qu'un de ses fils devienne le plus jeune conseiller général de France, comme le fut un jour un certain Jean Sarkozy. Son prédécesseur Georges Pompidou eut un fils qui se fit élire en grande partie sur son nom au Parlement européen. François Mitterrand fit sévir son fils Jean-Christophe, surnommé "Papa m'a dit", à la cellule africaine de l'Elysée (ce qui lui valut d'être plus tard condamné par la justice) et siéger un autre de ses fils, Gilbert, à l'Assemblée. Et, sous Jacques Chirac, une conseillère omnipotente à l'Elysée n'était autre que sa propre fille Claude.
Le pouvoir présidentiel, du reste, n'est pas le seul à recourir à ces pratiques. Au Parlement siègent encore à présent des héritiers de fameuses lignées politiques que sont les Debré, Dassault ou Poniatovski. Dans les gouvernements, on a vu un Pierre Joxe ou un Jean-Louis Debré, eux aussi des "fils de". L'actuelle ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, compte son fils parmi ses plus proches collaborateurs. Son collègue de la Défense, le néocentriste Hervé Morin, fut accusé d'avoir bombardé nombre de membres de sa famille sur les listes de son parti.
A l'échelon municipal, que dire de la dynastie Baudis, qui gouverna Toulouse pendant des décennies ? Des Parisien Tiberi et Dominati, qui réussirent à placer leurs rejetons ? De la récupération par la droite de la fille de l'ex-Premier ministre Bérégovoy ?
Sans parler de deux "filles de" que l'on compte aujourd'hui parmi les plus féroces contempteurs des pratiques de la famille Sarkozy : Martine Aubry et Marine Le Pen.
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A través del programa “Idiomas y Juventud”, la Junta de Andalucía financiará viajes de estudios de dos semanas de duración para que los alumnos de Institutos Públicos o Concertados y centros de Formación Profesional de la región puedan perfeccionar el conocimiento del inglés, francés o alemán. Las becas que gestiona el Instituto Andaluz de la Juventud incluyen el viaje, la estancia y las clases de idiomas.
El conocimiento de un idioma extranjero es cada vez más imprescindible en cualquier currículo y es muy importante que el conocimiento del idioma se realice durante toda la etapa estudiantil sin olvidar los cursos de verano. Por este motivo, la Junta de Andalucía, a través del Instituto Andaluz de la Juventud y la Consejería de Educación, ha puesto en marcha el Programa “Idiomas y Juventud”, del que este año podrán beneficiarse 5.000 alumnos.
Dirigido a estudiantes de Formación Profesional, Bachillerato o Educación Secundaria de Andalucía, tanto de centros públicos como concertados, “Idiomas y Juventud” ofrece estancias formativas en el extranjero para perfeccionar el conocimiento y la práctica de inglés, alemán o francés.
Esta nueva edición del programa incluye un total de 5.000 estancias en el extranjero, de las cuales 4.200 son para cursos en lengua inglesa, 750 para cursos en lengua francesa y 50 para cursos en lengua alemana. Cada estancia tendrá una duración de dos semanas que se organizarán tras el curso escolar, entre los meses de junio y agosto próximos.
La cobertura de cada estancia incluye el billete de avión (ida y vuelta), el traslado desde el aeropuerto del país de destino hasta la residencia donde se realice la estancia, la manutención y el alojamiento, la inscripción en el curso de idiomas, el material de enseñanza, las visitas culturales programadas y el seguro de viaje.
Desde el inicio de “Idiomas y Juventud”, en el año 2002, han sido 19.450 los jóvenes andaluces que se han beneficiado de esta iniciativa que les permite ampliar su conocimiento de una lengua extranjera. El plazo de solicitud está abierto hasta el 22 de febrero.
Fuente: Aprendemas
LONDRES
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http://www.becas-mec.info/curso_ingles_londres.php
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